- L’absence de Sander Baart. A l’aube de la saison, l’Antwerp clamait haut et fort son intention de briguer une place dans le Top 6. L’international hollandais, Sander Baart, accompagné par son frère Jeroen Baart, coach prometteur, augurait du meilleur. L’expérience et l’aura du milieu de terrain était censé faire monter tout un groupe vers les sommets. Une erreur administrative et c’est toute une équipe qui se retrouvait sans celui qui avait pour rôle d’être le leader de l’Antwerp.
- Le manque de leaders. Sander Baart parti, les Anversois devaient trouver un joueur capable de prendre la direction de l’équipe et de s’imposer comme le leader de l’Antwerp. « Shay Neal a plus ou moins pris ce rôle mais il nous a quitté juste après la reprise sur blessure», expliquait Matteo Gryspeerdt. « Nous avons beaucoup de bons joueurs et certains sont très expérimentés. Mais ces joueurs-là, dont je fais partie, n’ont pas réussi à porter l’équipe et à tirer tout le monde vers le haut». Un élément-clé capable de diriger tout le monde et de faire la différence lors des matchs importants, voilà ce qui a manqué à l’Antwerp cette année.
- Un 2e tour insuffisant. Trois victoires lors du 1er tour, le bilan n’était pas glorieux mais l’Antwerp aurait pu être en moins mauvaise posture si les troupes de Jeroen Baart n’avaient pas connu une reprise en-dessous de leur niveau du 1er tour. Depuis le 19 février, les Anversois l’ont seulement emporté une seule fois, à domicile contre le Braxgata. A part cela, que des défaites. Si une victoire contre le Wellington est plausible, les 3 points contre le Racing et le Léopold semble difficile. 6/30, c’est largement insuffisant.

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